Informations sur R d'Elite
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Biographie de R d'Elite
R d’Elite ou la promesse d’une gifle musicale.
A l’heure où le rap se veut plus gangsta et bling-bling qu’autre chose, voilà que l’essence même de ce mouvement renaît via ce groupe aux deux composantes ancrées dans la source de celui-ci. Pour les présenter, il est primordial de se pencher sur les caractéristiques propres aux deux bonhommes, tant ils sont à la fois différents mais tout aussi complémentaires. Gageons que la combinaison est parfaite.
D’abord 1.fern, Mc aux côtés sombres ne s’attardant pas à vouloir faire autre chose que de bosser l’écriture de ses textes. Une écriture qui se veut sincère et réaliste sur ce qui l’entoure, mettant un point d’honneur à éviter à sa plume de se noyer dans le slackness (le fait de parler pornographie, bling-bling etc…). Les tréfonds de nos tiroirs où se nichent les cassettes des premières mixtapes de rap français, où encore les improvisations de Lionel D, sont les prémices de l’envie de rapper du type. Ce désir ne fît que grandir avec l’arrivée de Rapattitude, un traumatisme pour toute une génération. S’il a bousillé des bandes de cassettes, ou encore des cds de rap français, il trouve aussi son inspiration à l’écoute de ce qu’il se passe Outre-Atlantique. Auditeur des groupes EastCoast comme le Wu-Tang, ou Gangstarr, mais aussi et surtout M.O.P, « le meilleur groupe de toute l’histoire du rap ! » dixit 1.fern. C’est depuis ses treize ans que celui-ci s’échine à rapper ses morceaux où il le peut, car les enregistrements en studio ne se sont présentés que plus tard. C’est d’ailleurs ce qui lui permet aujourd’hui de pouvoir improviser quand bon lui semble, sur un beat dans une caisse, ou quand l’envie lui prend en studio. Sa technique, son flow et ses punchlines se sont forgés au gré du temps et des galères artistiques.
« Surtout vient pas me tcheck car on n’a pas le même sang »
R d’Elite est un groupe qui a su se faire connaître rapidement du milieu rap en posant dans de multiples projets, mais de nombreux furent avortés. Avec comme première expérience une mixtape format cassette en 1999, y rappaient de nombreux guests somme Sniper et Daddy lord C, puis plus récemment leurs apparitions dans Poésie Urbaine 1 et 2. Cependant, si les artistes rap français font aussi appel à eux, c’est aussi pour pouvoir bénéficier de l’atout de sa deuxième composante. Entendez par là, le coté producteur d’SP.
Présentons le second bougre de cette formation : SP. Voilà un type qui combine le rap et la production de beats. S’il n’est pas rare que l’on demande des prods de « l’Incroyable SP », sa vocation première est rappeur. Mêlant la technique à l’écriture, ses textes convergent tous vers l’envie de narrer de vraies choses. Sans mentir ni s’inventer une vie, il allie ses mots à leurs véracités. Il serait vain de tenter de vouloir chercher quelconques inventions dans ses propos. Ainsi, il réussit à concilier travail textuel et travail de composition. Son habileté face à une feuille blanche est analogue devant son clavier maître. S’inspirant du rap new-yorkais pour ses textes, et s’attardant sur les productions de Timbaland, Just blaze, Heatmakerz, Dj premier, ou Alchemist, il prend un malin plaisir à nous assommer de ses beats particuliers, tantôt tourmentés mélangeant piano et violon, tantôt lourds appuyés de grosses basses et de claps bien saisis. Offrant dernièrement son savoir faire à Samat et Larsen.
« J’n’ai plus qu’un œil depuis que mes ennemis me portent l’autre »
Nous sommes en 1998, et c’est là qu’il va faire la connaissance d’1.fern. Après l’avoir invité à faire un freestyle, un mercredi après-midi, la combinaison naquît. Comme une suite logique, une suggestion implicite fût donc à la base de ce qu’ils sont aujourd’hui. Et c’est dix années plus tard que leur premier street cd Instruments de torture vit le jour. Projet qui se veut baigné de la plus pure tradition du rap français, avec des morceaux qui s’évertuent à traiter de nombreux thèmes, comme la condition des noirs dans le titre « Héritage », d’ailleurs remixé avec les talentueux Casey et Guy-Al MC, ou encore à parler de la mort dans « Demain c’est jamais » avec au refrain un artiste qui ne tardera pas à faire parler de lui : Monsieur Nov’. Titres menés de mains de maîtres par nos deux Mcs. Ce street préfigure les ambitions des R d’Elite, rallier le public à leurs causes, abreuver l’auditoire de sons de choix, mais surtout respecter cette force et cette sincérité qui les qualifient.
Editer la biographie de R d'Elite
A l’heure où le rap se veut plus gangsta et bling-bling qu’autre chose, voilà que l’essence même de ce mouvement renaît via ce groupe aux deux composantes ancrées dans la source de celui-ci. Pour les présenter, il est primordial de se pencher sur les caractéristiques propres aux deux bonhommes, tant ils sont à la fois différents mais tout aussi complémentaires. Gageons que la combinaison est parfaite.
D’abord 1.fern, Mc aux côtés sombres ne s’attardant pas à vouloir faire autre chose que de bosser l’écriture de ses textes. Une écriture qui se veut sincère et réaliste sur ce qui l’entoure, mettant un point d’honneur à éviter à sa plume de se noyer dans le slackness (le fait de parler pornographie, bling-bling etc…). Les tréfonds de nos tiroirs où se nichent les cassettes des premières mixtapes de rap français, où encore les improvisations de Lionel D, sont les prémices de l’envie de rapper du type. Ce désir ne fît que grandir avec l’arrivée de Rapattitude, un traumatisme pour toute une génération. S’il a bousillé des bandes de cassettes, ou encore des cds de rap français, il trouve aussi son inspiration à l’écoute de ce qu’il se passe Outre-Atlantique. Auditeur des groupes EastCoast comme le Wu-Tang, ou Gangstarr, mais aussi et surtout M.O.P, « le meilleur groupe de toute l’histoire du rap ! » dixit 1.fern. C’est depuis ses treize ans que celui-ci s’échine à rapper ses morceaux où il le peut, car les enregistrements en studio ne se sont présentés que plus tard. C’est d’ailleurs ce qui lui permet aujourd’hui de pouvoir improviser quand bon lui semble, sur un beat dans une caisse, ou quand l’envie lui prend en studio. Sa technique, son flow et ses punchlines se sont forgés au gré du temps et des galères artistiques.
« Surtout vient pas me tcheck car on n’a pas le même sang »
R d’Elite est un groupe qui a su se faire connaître rapidement du milieu rap en posant dans de multiples projets, mais de nombreux furent avortés. Avec comme première expérience une mixtape format cassette en 1999, y rappaient de nombreux guests somme Sniper et Daddy lord C, puis plus récemment leurs apparitions dans Poésie Urbaine 1 et 2. Cependant, si les artistes rap français font aussi appel à eux, c’est aussi pour pouvoir bénéficier de l’atout de sa deuxième composante. Entendez par là, le coté producteur d’SP.
Présentons le second bougre de cette formation : SP. Voilà un type qui combine le rap et la production de beats. S’il n’est pas rare que l’on demande des prods de « l’Incroyable SP », sa vocation première est rappeur. Mêlant la technique à l’écriture, ses textes convergent tous vers l’envie de narrer de vraies choses. Sans mentir ni s’inventer une vie, il allie ses mots à leurs véracités. Il serait vain de tenter de vouloir chercher quelconques inventions dans ses propos. Ainsi, il réussit à concilier travail textuel et travail de composition. Son habileté face à une feuille blanche est analogue devant son clavier maître. S’inspirant du rap new-yorkais pour ses textes, et s’attardant sur les productions de Timbaland, Just blaze, Heatmakerz, Dj premier, ou Alchemist, il prend un malin plaisir à nous assommer de ses beats particuliers, tantôt tourmentés mélangeant piano et violon, tantôt lourds appuyés de grosses basses et de claps bien saisis. Offrant dernièrement son savoir faire à Samat et Larsen.
« J’n’ai plus qu’un œil depuis que mes ennemis me portent l’autre »
Nous sommes en 1998, et c’est là qu’il va faire la connaissance d’1.fern. Après l’avoir invité à faire un freestyle, un mercredi après-midi, la combinaison naquît. Comme une suite logique, une suggestion implicite fût donc à la base de ce qu’ils sont aujourd’hui. Et c’est dix années plus tard que leur premier street cd Instruments de torture vit le jour. Projet qui se veut baigné de la plus pure tradition du rap français, avec des morceaux qui s’évertuent à traiter de nombreux thèmes, comme la condition des noirs dans le titre « Héritage », d’ailleurs remixé avec les talentueux Casey et Guy-Al MC, ou encore à parler de la mort dans « Demain c’est jamais » avec au refrain un artiste qui ne tardera pas à faire parler de lui : Monsieur Nov’. Titres menés de mains de maîtres par nos deux Mcs. Ce street préfigure les ambitions des R d’Elite, rallier le public à leurs causes, abreuver l’auditoire de sons de choix, mais surtout respecter cette force et cette sincérité qui les qualifient.
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